Bioflorin peut sponsoriser bien des touristes dans ce pays. Chaque personne croisée est restée malade durant quelques jours. Le niveau d’hygiène est en effet assez limité. Nous avons l’eau courante uniquement dans la capitale. Les femmes vont chercher l’eau à la rivière ou au puit. Heureusement, les ONG sont bien présentes dans ce pays et essayent d’apporter de l’eau potable.
Quentin souffre toujours d’une vilaine tourista ce qui n’est pas l’idéal à vélo!
Concernant les repas, on s’attendait a pire vu ce que nous avions pu lire. On déguste de bonnes pastèques, des abricots bio (pour de vrai), des jus de griottes… Les plats de consistance se limitent souvent à une soupe assez grasse avec peut-être un petit bout d’os entouré d’un peu de viande si on a de la chance. On mange plus volontiers du Plov qui est un plat de riz, toujours assez gras, avec des carottes et un peu de viande. La nourriture n’est pas très variée mais ça va! Il faut dire que le pays est assez pauvre et les gens vivent principalement de leur culture qui est parfois assez maigre.
Les magasins sont difficiles à trouver et leur étalage parfois souvent assez vide. On saute volontiers sur un snickers périmé caché dans un coin. Le RC Cola, la version coca du pays est pas si mal et nous donne un bon coup de fouet bien utile, parfois.